5145
Inserm/Puchelle, Edith
Le système mucocilaire
Les cellules ciliées de l’épithélium respiratoire sont nombreuses et les cellules à mucus bombent à la surface. Le mucus est excrété hors des cellules et forme et forme un tapis muqueux présent à la partie apicale des cils. Grossissement x1500.
U314
44930
Inserm/Zahm, Jean-Marie
L'épithélium respiratoire : la fonction ciliaire.
Vidéo montrant une vue latérale de cellules ciliées normales: battement ciliaire homogène et coordonné. séquence de 10 secondes.
Zahm, Jean-Marie
44942
Inserm/Zahm, Jean-Marie
L'épithélium respiratoire : la fonction ciliaire dans la dyskinésie ciliaire primitive.
Vidéo montrant une vue latérale de cellules ciliées prélevées chez un patient souffrant de dyskinésie ciliaire primitive: battement ciliaire très ralenti, hétérogène ou inexistant.
Zahm, Jean-Marie
44924
Inserm/Zahm, Jean-Marie
L'épithélium respiratoire : la fonction ciliaire
Vidéo montrant des cellules ciliées normales en culture, on peut noter le battement coordonné et homogène des cils vibratiles. Cette vidéo est à comparer avec la vidéo n°44935.
Zahm, Jean-Marie
44935
Inserm/Zahm, Jean-Marie
L'épithélium respiratoire : la fonction ciliaire dans la dyskinésie ciliaire primitive.
Cellules ciliées observées chez un patient souffrant de dyskinésie ciliaire primitive (pathologie d'origine génétique) caractérisée par des anomalies de l'ultrastructure des cils vibratiles avec pour conséquences des anomalies fonctionnelles : cils immobiles, battement ciliaire hétérogène. Cette vidéo est à comparer avec la vidéo n°44924.
Zahm, Jean-Marie
44923
Inserm/Zahm, Jean-Marie
L'épithélium respiratoire : le système mucociliaire.
La première ligne de défense de l'épithélium respiratoire est constituée par le système mucociliaire dont le fonctionnement est visualisé dans cette vidéo qui représente tout d'abord un épithélium respiratoire ex-vivo, puis une animation décrivant le système mucociliaire. Vidéo ex-vivo : l'objet circulaire blanc qui se déplace est une pastille d'aluminium qui a été déposée sur un épithélium respiratoire; cette pastille repose sur un film de mucus qui est lui-même véhiculé par les cils vibratiles. C'est de cette façon que les particules inhalées sont expurgées de nos bronches et bronchioles. Animation: cette animation montre le film de mucus qui recouvre le tapis de cellules ciliées. Le battement coordonné des cils vibratiles permet le transport du mucus respiratoire sur lequel viennent adhérer toutes les particules solides inhalées (poussières, bactéries, virus,?.). Pour simplifier, le couple cils-mucus constitue le « système de nettoyage » des poumons.
Zahm, Jean-Marie
44929
Inserm/Zahm, Jean-Marie
Analyse fonctionnelle dynamique des cellules épithéliales respiratoires.
Cette vidéo montre un lambeau d'épithélium respiratoire recueilli par brossage de la muqueuse nasale. Ce lambeau épithélial est bordé de cils vibratiles dont le battement induit la rotation du lambeau.
Zahm, Jean-Marie
44932
Inserm/Zahm, Jean-Marie
L'épithélium respiratoire : les glandes.
Animation montrant l'intérieur d'une glande qui se contracte pour expulser les granules de mucus (en vert). Ces granules sont véhiculés vers le canal collecteur de la glande où commencent à apparaître les cellules ciliées. Ces granules déversent ensuite leur contenu à la surface des cils vibratiles.
Zahm, Jean-Marie
44928
Inserm/Zahm, Jean-Marie
L'épithélium respiratoire : expansion des granules sécrétoires
Cellules sécrétoires glandulaires en culture. Sur cette vidéo, on peut voir des granules sécrétoires expulsés par les cellules glandulaires: ce sont les structures blanches dont la taille augmente (sortie du granule de la cellule), puis diminue (libération du contenu du granule dans le milieu extracellulaire).
Zahm, Jean-Marie
44936
Inserm/Zahm, Jean-Marie
L'épithélium respiratoire : anomalies de la fonction mucociliaire.
Animation montrant le mucus respiratoire transporté grâce à l'activité des cils vibratiles. A la fin de la séquence, dans certaines situations pathologiques (infections respiratoires, mucoviscidose), l'altération des propriétés physiques du mucus respiratoire induit une diminution du battement ciliaire avec pour conséquence un ralentissement du transport du mucus et donc une accumulation de ce mucus dans les bronches pouvant conduire à l'obstruction de ces bronches.
Zahm, Jean-Marie
44940
Inserm/Zahm, Jean-Marie
L'épithélium respiratoire : cellules non invasives.
Cette vidéo présentée est à comparer avec la vidéo n°44941, qui montrent des différences de comportement des cellules. Les cellules normales non invasives, initialement isolées les unes des autres, ont tendance à se rapprocher et à s'agréger.
Zahm, Jean-Marie
44941
Inserm/Zahm, Jean-Marie
L'épithélium respiratoire : cellules tumorales invasives.
Cette vidéo présentée est à comparer avec la vidéo n°44940. Ici, des cellules tumorales invasives (capable de former des métastases à distance d'une tumeur) qui ne s'agrègent pas mais restent isolées les unes par rapport aux autres (elles ont des contacts éphémères entres elles).
Zahm, Jean-Marie
44939
Inserm/Zahm, Jean-Marie
L'épithélium respiratoire : modèle in-vitro de lésion-réparation
Après une lésion de la surface épithéliale, un processus de réparation est mis en oeuvre. Dans cette vidéo, des cellules ont été détachées mécaniquement (arrachement) afin de créer in-vitro une lésion (zone dépourvue de cellules). Cette vidéo met en évidence la migration des cellules situées en bordure de lésion, permettant la fermeture progressive de la zone lésée.
Zahm, Jean-Marie
44925
Inserm/Zahm, Jean-Marie
L'épithélium respiratoire : modèle in vitro de lésion-réparation.
A fort grossissement, nous visualisons ici les cellules qui sont en bordure de lésion. Ces cellules émettent des prolongement cytoplasmiques, les lamellipodes, qui permettent la migration des cellules; la vitesse de déplacement est de l'ordre de 20 micromètres par heure.
Zahm, Jean-Marie
44937
Inserm/Zahm, Jean-Marie
Lésion de l'épithélium respiratoire.
Pour bien visualiser l'effet de l'infection sur l'intégrité de la barrière épithéliale, des cellules épithéliales respiratoires sont incubées avec des facteurs de virulence bactériens (toxines sécrétées par les bactéries au cours de leur croissance) mis en solution dans le milieu de culture des cellules; au début de la séquence les cellules ne semblent pas souffrir (on note par-ci par-là quelques mitoses), mais après quelques heures on observe une augmentation des espaces intercellulaires qui est ensuite suivie d'un détachement des cellules. Après 24h, le tapis cellulaire est complètement désorganisé.
Zahm, Jean-Marie
44931
Inserm/Zahm, Jean-Marie
L'épithélium respiratoire : lésion et bactéries.
Une zone de lésion est incubée avec des bactéries. Au début de la séquence (T0), quelques bactéries s'agitent au-dessus de la zone lésée (petites particules noires). Après 10 min, on peut observer une concentration particulière des bactéries au niveau de la zone lésée. Après 20 min d'interaction, de nombreuses bactéries se sont agrégées et ont adhéré au niveau de la zone de lésion.
Zahm, Jean-Marie
44934
Inserm/Zahm, Jean-Marie
Mise en défaut du système de défense de l'épithélium respiratoire: colonisation et infection virale et/ou bactérienne.
Des cellules épithéliales respiratoires formant un tapis continu sont incubées avec des bactéries, peu nombreuses au départ. Quelques secondes après le début de la vidéo, au niveau du cercle rouge en bas à droite, on voit apparaître une colonie de bactéries caractérisée par une croissance explosive pour recouvrir pratiquement totalement la culture (durée de la séquence en temps réel : 24h).
Zahm, Jean-Marie
44933
Inserm/Zahm, Jean-Marie
L'épithélium respiratoire : effet des facteurs de virulence solubles de Staphylococcus aureus sur la migration cellulaire.
On retrouve dans cette vidéo des cellules épithéliales respiratoires engagées dans un processus de réparation. La première partie de la séquence (intitulée "control ") montre le déplacement normal des cellules en absence de facteurs de virulence bactériens (toxines sécrétées par les bactéries), puis la deuxième partie de la séquence (intitulée "S.aureus 2%") montre que l'ajout de toxines bactériennes à la concentration de 2%, inhibe le déplacement des cellules sans altérer la capacité qu'ont les cellules à modifier leur forme.
Zahm, Jean-Marie
44927
Inserm/Zahm, Jean-Marie
L'épithélium respiratoire : effet des facteurs de virulence solubles de Staphylococcus aureus sur la migration cellulaire.
Cette vidéo, prise dans les mêmes conditions que la n°44933, mais les cellules ont été incubées avec 20% de toxines bactériennes; on observe rapidement un arrêt du déplacement des cellules, mais également une inhibition des modifications de forme. Ces deux vidéos mettent en évidence l'effet délétère de l'infection bactérienne au niveau du processus de cicatrisation de lésions.
Zahm, Jean-Marie
44938
Inserm/Zahm, Jean-Marie
L'épithélium respiratoire : mort cellulaire induite par les facteurs de virulence de Staphylococcus aureus.
Dans cette vidéo, des marqueurs fluorescents sont utilisés pour visualiser le noyau des cellules. La fluorescence verte permet de marquer toutes les cellules, alors que la fluorescence rouge est caractéristique des cellules mortes. Les cellules sont incubées avec des concentrations croissantes de facteurs de virulence bactériens. On observe qu'une concentration élevée de facteurs de virulence bactériens (20%) induit la mort rapide de la majorité des cellules.
Zahm, Jean-Marie