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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. On distingue sur ce cliché de petits cristaux de carbonate de calcium, appelés otoconies - littéralement "poussières d'oreille". Localisées dans une membrane, dite otoconiale, elles reposent sur un tissu constitué notamment de cellules ciliées aux structures filamentaires caractéristiques. Les otoconies servent au bon fonctionnement du système vestibulaire de l'oreille interne. Elles assurent, avec le système visuel et le système proprioceptif, l'équilibre. Lorsqu'elles se détachent, nous souffrons de vertiges. © Sans, Alain / Les Indes noires. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Ces deux papillons ou chauves-souris en plein vol sont en réalité une image de l'oreille interne de la souris âgée de dix jours. L'os a une taille normale à gauche, alors qu'il a une taille réduite à droite. Dans ce dernier cas, la souris est porteuse d'une mutation affectant un gène du développement. © Topilko, Piotr / Les Enfants du capitaine Grant. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Rhumes et rhinites allergiques nous montrent à l'envi que les muqueuses tapissant nos cavités nasales ne sont pas à l'abri d'agressions par des agents extérieurs. Ici, une muqueuse nasale présentant des signes inflammatoires avec la production de mucus filamenteux. © Guilhaume, Anne / Voyage au centre de la Terre. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Sur cette image de l'épithélium vestibulaire, on distingue les cellules sensorielles (amas en bas) et les touffes de stéréocils. Les seconds, situés sur l'extrémité des premières, baignent dans les liquides contenus dans les cavités de l'oreille interne. L'ensemble est en contact avec les cellules nerveuses afférentes, afin de transmettre les signaux sensoriels au cerveau. © Demêmes, Danielle / Voyage au centre de la Terre. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Quelles sont ces étranges broussailles ? Des photorécepteurs de la rétine de grenouille. Grâce à eux, les photons du rayonnement lumineux ambiant sont perçus et interprétés. Selon l'organisation de ces photorécepteurs, chaque espèce développe sa propre sensibilité à la lumière. Certaines excellent en vision nocturne, diurne, aérienne, aquatique� selon le biotope, ou écosystème, dans lequel évoluent les individus. © Nguyen-Legros, Jeanine / Kéraban le têtu. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. L'organe de Corti, situé à l'intérieur de la cochlée (appelée aussi le limaçon), fait partie de l'oreille interne. Véritable zone sensorielle auditive, il contient des cellules spécialisées, qui transforment les vibrations sonores en stimuli nerveux acheminés vers le cerveau pour être interprétés. Sur ce cliché du tunnel de Corti on distingue au premier plan les piliers, dits aussi cellules de soutien. © Lenoir, Marc / Les Indes noires. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Le myélome multiple est un cancer de la moelle osseuse, qui touche initialement les plasmocytes du système immunitaire et prolifère dans les os. Cette image en microscopie à balayage montre une cellule cancéreuse (myélomateuse) adhérant à une lignée d'ostéoblastes, des cellules contribuant à former la face interne et externe des os. © Bataille, Régis / Cinq semaines en Ballon. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Les cellules ciliées tapissent les voies aériennes supérieures : fosses nasales, cavité buccale, cavum, pharynx et larynx. On observe sur cette image une cellule du sinus. Elles permettent de réchauffer et d'humidifier l'air inspiré, tout en le débarrassant de ses impuretés. Certaines maladies rares, comme la dyskinésie ciliaire primitive, se traduisent par un dysfonctionnement de cette fonction d'épuration mucociliaire, ce qui entraîne au niveau nasal encombrement du mucus, inflammations et infections (sinusites), voire perte de l'odorat. © Arbeille, Brigitte / Vingt mille lieues sous les mers. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Une sinusite chronique provoque l'abrasion de l'épithélium. Ce tissu, constitué de cellules jointives, repose lui-même sur une lame basale permettant l'adhérence des cellules épithéliales au tissu conjonctif. Sur cette image, seules quelques cellules indifférenciées subsistent sur la lame basale. Cette dernière est un réseau complexe de protéines (comme la laminine, le collagène, les protéoglycanes) formant le support de l'épithélium. Elle est ici " mise à nu " par la perte d'adhérence des cellules qui la tapissent normalement. © Arbeille, Brigitte / Hector Servadac. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Ce feu d'artifice illustre en fait un combat en cours : celui des cellules endothéliales infectées depuis quatre heures par du méningocoque (en bleu). En vert et en rouge, deux protéines sont également visibles, l'actine et la paxilline. © Eugène, Emmanuel / Les Cinq cents millions de la Bégum. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. La cryofracture est un procédé technique utilisé pour observer au microscope électronique à transmission (MET) des échantillons biologiques dont l'état d'origine est fluide. Après avoir été vitrifié à une température de -170 °C ou de - 200 °C, l'échantillon est fracturé. Ces lignes de fracture rendent possible une observation de zones qui, sans ce procédé, resteraient inaccessibles. Cette image présente une cryofracture de l'épithélium du corps ciliaire de l'�il. Cet épithélium tapisse la chambre postérieure de l'�il et participe à l'élaboration de l'humeur aqueuse qui maintient la pression intra-oculaire et la forme du globe oculaire. © Hirsch, Michel / Voyages et aventures du capitaine Hatteras. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Transparente, composée de plusieurs couches de cellules, la cornée a la forme d'une calotte sphérique. Elle est située à la surface de nos yeux et laisse passer la lumière en infléchissant son rayonnement. Cette vue en microscope en lumière polarisée en montre un détail. © Savoldelli, Michèle / Michel Strogoff. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Les cellules dendritiques, appelées aussi macrophagocytes, remplissent un rôle de nettoyage de nos cellules mortes et autres débris microscopiques dont notre organisme abonde. Elles possèdent en outre des caractéristiques propres, leur permettant notamment de stimuler la réponse immunitaire de l'organisme. Cette image présente des cellules dendritiques cutanées en culture. On les retrouve dans l'épiderme (cellules de Langerhans) comme dans le derme (cellules dendritiques interstitielles). © Dezutter-Dambuyant, Colette / Le pays des fourrures. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Formant la hanche et structurant le bassin, l'os iliaque peut être déformé, comme dans le cas de la maladie de Paget entraînant des résorptions-reconstructions anarchiques. L'analyse au microscope après coupe et coloration est alors riche d'enseignement. On observe ici en vert l'os minéralisé ; en brun et jaune, le tissu pré-osseux (ostéoïde) récemment formé, fabriqué par les ostéoblastes ; en rouge vif, les cellules ostéoclastes qui résorbent l'os. © Roux, Jean-Paul / Mathias Sandorf. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Cette image en lumière polarisée présente une odontodysplasie. Il s'agit d'une malformation dentaire, appelée aussi "dent fantôme", caractérisée par une calcification de l'émail et de la pulpe dentaire. © Kerebel, Bertrand / Mathias Sandorf. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Les drosophiles (ou mouches du vinaigre) femelles possèdent des ovaires, formés d'un ensemble d'unités fonctionnelles appelées les ovarioles. Chaque ovariole est à son tour constituée d'une succession de follicules, émergeant les uns après les autres sur un axe, formant comme un chapelet de perles. Les plus petites, situées aux extrémités, sont les plus jeunes. © Desset, Sophie & Vaury, Chantal / Les Indes noires. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. La drosophile ou mouche du vinaigre (Drosophilia melanogaster) est une star des modèles animaux de laboratoire, depuis les premiers travaux de Thomas Hunt Morgan en 1906. Cette photo détaille les testicules d'un mâle. Pourquoi travailler sur une mouche? Parce que l'homme et la drosophile partagent un grand nombre de mécanismes moléculaires et cellulaires fondamentaux. © Desset, Sophie & Vaury, Chantal / Voyage au centre de la Terre. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Les cellules gliales sont essentielles au bon fonctionnement des neurones. Elles assurent à ces derniers nutrition et protection de leur environnement chimique et électrique. On voit ici des cultures primaires de cellules gliales de rats, localisées par marquage fluorescent des filaments de la GFAP (Glial Fibrillary Acidic Protein). Ces filaments apparaissent en vert, le noyau de la cellule en bleu, un second messager (appelé ERK-1) en orange. Ce dernier est notamment en charge du contrôle de la prolifération cellulaire. © Debeir, Thomas / Deux Ans de vacances. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Dans l'oreille interne, la cochlée contient les récepteurs de l'audition : c'est elle le véritable organe de l'ouïe. On l'appelle aussi limaçon, en raison de sa forme caractéristique en spirale qui évoque une coquille d'escargot. Cette image de microscopie électronique à balayage montre la cochlée d'un cobaye. © Guilhaume, Anne / Kéraban le têtu. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Ce magnifique dégradé de couleurs vives résulte d'un triple marquage dans des cellules embryonnaires de souris. Il permet à l'observateur de distinguer le noyau (en bleu), les microtubules (en vert) et les plaques d'adhésion (en rouge). © Saoudi, Yasmina / Vingt mille lieues sous les mers. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Cette cellule embryonnaire de souris révèle ses structures intimes par la coloration : en bleu, le noyau abritant les chromosomes ; en vert, les microtubules formant le squelette cellulaire (cytosquelette) ; en rouge, les plaques d'adhésion qui fixent la cellule sur la matrice extracellulaire. © Saoudi, Yasmina / Vingt mille lieues sous les mers. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Anneaux colorés : Quelles sont ces lueurs dans l'obscurité ? Les contours d'un groupe de cinq cellules d'un embryon de poisson zèbre
à différents moments de l'embryogenèse. On peut suivre l'évolution
des cellules dans le temps : en vert, le plus récent ; en rouge, le plus
ancien. Étoile verte : Dans certaines pathologies comme la sclérose en
plaques ou la maladie d'Alzheimer, les neurones meurent. Leur place
vacante est parfois occupée par un autre type de cellule nerveuse, les
astrocytes (en vert), ainsi nommés en raison de leur forme étoilée. Ils
sont dits "hypertrophiques" dans cette phase de prolifération. © David, Nicolas / Peyrin, Jean-Michel / Vingt mille lieues sous les mers. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Chaque néphron, unité fonctionnelle du rein assurant le rôle de filtre du sang, contient un glomérule et un tubule. On voit ici un glomérule rénal souffrant de surcharge lipidique. Elle peut entraver le fonctionnement du glomérule et affaiblir toute la fonction rénale. © Blanc-Brunat, Nelly / Le pays des fourrures. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Dans toutes les cellules du corps, on trouve des mitochondries et des ribosomes. Les premières sont de petites centrales énergétiques, qui assurent la respiration de la cellule et diverses réactions chimiques. Les seconds sont indispensables à la lecture des ARN qui portent l'information en provenance des gènes. © Le Goascogne, Claude / Robur le conquérant. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Si le rein joue un rôle non négligeable dans la régulation de la pression artérielle, c'est en grande partie grâce à la rénine. Cette enzyme secrétée par l'organe fait partie du système rénine-angiotensine-aldostérone. Cette image présente des cristaux de rénine humaine en lumière polarisée. © Mornon, Jean-Paul / Les Enfants du capitaine Grant. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Les erreurs ont parfois du bon : cette magnifique spirale évoquant un puissant vortex est en réalité un artefact d'imagerie, dû à une entrée d'air lors d'une prise de vue réalisée au microscope électronique en transmission (MET). Inventée par Max Knoll et Ernst Ruska, respectivement ingénieur électricien et physicien - ce dernier obtiendra le prix Nobel de physique en 1986 -, cette technique de microscopie permet d'obtenir une image dont la résolution peut atteindre 0,8 angström (1 angström = 1 × 10-10 mètres). Il permet en outre d'analyser la composition chimique d'un échantillon grâce au rayonnement X résultant du faisceau électronique. © Breton-Gorius, Janine / Edgard Poe et ses œuvres. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. La périartérite noueuse (PAN) est une maladie rare, touchant environ une personne sur 33 000. Elle se caractérise par une inflammation de certains vaisseaux sanguins - sur cette image, les vaisseaux de la rétine. Les organes les plus souvent atteints sont la peau, les reins, le système nerveux, le tube digestif, le cœur et les muscles. La mauvaise irrigation sanguine due à l'inflammation se traduit par un amaigrissement, une grande fatigue et des douleurs plus ou moins localisées. © Guillevin, Loïc / Les Enfants du capitaine Grant. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. La cobalamine ou vitamine B12 est le cofacteur de deux types de réactions enzymatiques très courantes dans l'organisme : l'isomérisation, conversion d'une molécule en un isomère, de même formule brute mais de formule développée différente, et la transméthylation, transformation d'un groupe chimique méthyle dans une molécule. Elle joue un rôle important au niveau de l'hématopoïèse (production du sang) et du système nerveux. © CEIV-Roche / Vingt mille lieues sous les mers. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Le calciférol ne vous est pas inconnu, mais sous un autre nom : c'est la vitamine D, qui existe sous cinq formes différentes. Elle permet notamment l'absorption du calcium et du phosphore, indispensable pour la minéralisation des os. Les enfants en croissance ou les personnes âgées doivent donc prendre garde aux carences. © CEIV-Roche / Les Indes noires. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Ce réseau mystérieux de cavités est un os trabéculaire. Aussi appelé os spongieux, il constitue environ 20 % de la masse osseuse, les 80 % restants étant formés par l'os cortical ou os compact. On voit ici l'architecture trabéculaire des travées osseuses, qui joue un rôle important dans la résistance mécanique de l'os. © Boivin, Georges / Voyage au centre de la Terre. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Les enzymes sont des protéines constituées par l'association d'acides aminés qui accélèrent les réactions dans l'organisme. On en compte plusieurs milliers. Véritable boîte à outils du vivant, les enzymes permettent notamment de réparer l'ADN endommagé, ce qu'un chercheur analyse ici. © Latron, Patrice / Un Capitaine de quinze ans. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Le neurone est une cellule nerveuse constituée de 3 parties principales : le corps cellulaire, appelé aussi soma ; les dendrites, extrémités chargées de recevoir des informations ; l'axone, unique pour chaque neurone, qui achemine l'information vers d'autres types de cellules. On observe ici une culture de neurones dite en stripe assay - méthode de culture in vitro sur bandes alternées - qui montre (en rouge) des axones de neurones sensoriels évitant des lignées contenant de la protéine Slit2 (en vert). Le stripe assay, très employé en biologie moléculaire, permet d'observer les "préférences" des cellules en migration pour différents types de substrats - elles en recherchent certains et en évitent d'autres, en fonction de signaux chimiques. La protéine Slit2 est l'un de ces signaux : elle sert de guide à l'axone pendant la phase de développement neural. © Chédotal, Alain / Vingt mille lieues sous les mers. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. La méthode dite des chambres d'Ussing est utilisée pour analyser des tissus, notamment l'étude de la physiologie intestinale. Les chambres forment deux compartiments séparés par un tissu, et l'on étudie la perméabilité ainsi que le transport d'ions entre un milieu séreux et un milieu aqueux. Sur cette image, un tissu intestinal d'enfant présente des signes d'inflammation dus à une maladie de Crohn, une pathologie génétique inflammatoire chronique pouvant affecter n'importe quelle portion du tube digestif - de la bouche à l'anus. © Latron, Patrice / Mistress Branican. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Les cellules souches (CS) embryonnaires ont la capacité de se différencier en n'importe quelle famille cellulaire de l'organisme. On observe ici une lignée humaine, après 68 jours de culture in vitro, avec les noyaux marqués en bleu et des neurones marqués en vert. En analysant l'expression d'une protéine particulière (DARPP32), les chercheurs vérifient qu'une partie de la population initiale de CS s'est spécialisée en un certain type de cellule exprimant cette protéine (ici, des neurones striataux, colorés en jaune-rouge quand DARPP32 est active). © Perrier, Anselme / Vingt mille lieues sous les mers. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Les micro-organismes communiquent entre eux. C'est le cas des bactéries dont la faculté de communiquer leur permet de coloniser des cellules mais aussi, suivant un seuil de densité de la population bactérienne (appelé " quorum "), de déclencher un mécanisme permettant l'expression de certains gènes ou encore l'obtention d'une virulence maximale. Pour la bactérie Bacillus thuringiensis, cette communication repose sur l'interaction d'un " senseur de quorum ", la protéine PlcR (bleu), et d'une molécule de signalisation intrabactérienne, le peptide PapR (jaune). La densité électronique (toilé gris) de cette dernière est déterminée par radiocristallographie. La bactérie Bacillus thuringiensis (Bt) est présente dans la plupart des eaux, des sols et dans le feuillage de nombreux végétaux ; elle est aujourd'hui l'insecticide naturel le plus utilisé en agriculture biologique. © Arold, Stefan / Voyage au centre de la Terre. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Grâce à une congélation très rapide, la cryomicroscopie électronique permet de conserver l'hydratation des échantillons observés, et donc d'observer leur structure en minimisant les déformations. Y compris aux très petites échelles du nanomètre. On observe ici l'image de virus, obtenue par cette technique désormais indispensable en biologie structurale et fonctionnelle. © Bron, Patrick / Un Billet de loteriec. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Gare à ces billes dorées, qui ressemblent à de petites pommes mais sont en réalité les redoutables molécules de la toxine de choléra, posées sur une bicouche lipidique et observées en microscopie à force atomique. La bactérie Vibrio cholerae (bacille virgule) est fatale dans plus de la moitié des infections. © Legrimellec, Christian & Milhiet, Pierre-Emmanuel / Hector Servadac. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Ces microbilles de 0,8 mm de diamètre sont constituées d'un gel de protéines compatible avec le vivant. Elles peuvent être dirigées de manière spécifique vers un tissu ou un organe malade, afin d'y délivrer des molécules-médicaments. Le ciblage thérapeutique limite notamment certains effets secondaires des traitements. © Chappard, Daniel / Autour de la Lune. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. L'injection de biomatériaux de synthèse fait partie des techniques possibles de reconstruction osseuse. Sur cette image en microtomographie X, trois fémurs de rat : à gauche et en vert, de l'os trabéculaire (spongieux) normal ; au centre, l'image d'une perte osseuse provoquée en laboratoire ; à droite et en rouge, les zones où l'os a été réparé grâce à l'injection d'un biomatériau de synthèse. © Chappard, Daniel / Mathias Sandorf. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Ces microbilles de 0,8 mm de diamètre sont constituées d'un gel de protéines compatible avec le vivant. Elles peuvent être dirigées de manière spécifique vers un tissu ou un organe malade, afin d'y délivrer des molécules-médicaments. Le ciblage thérapeutique limite notamment certains effets secondaires des traitements. © Chappard, Daniel / Autour de la Lune. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Pour qu'un biomatériau s'implante correctement, et assure ses fonctions, il faut que l'organisme le reconnaisse et le colonise de ses propres tissus. On observe sur cette image en microscopie par balayage électronique le développement spontané de calcosphérites (cristaux de phosphate de calcium) à la surface d'un biomatériau. © Beuvelot, Johanne / Le Sphinx des glaces. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Pour observer ou réparer le vivant, les chercheurs conçoivent des structures de taille micro- ou nanométrique, capables de s'insérer dans les cellules et éventuellement d'y délivrer un médicament. En rouge foncé, des microbilles de polyhydroxyéthyl-méthacrylate (pHEMA) se sont installées dans les cellules endothéliales formant les parois internes des veines et artères (en vert). En rouge vif, certaines microbilles ne sont pas parvenues à pénétrer la cellule. © Nyangoga, Hervé-Oscar / Vingt mille lieues sous les mers. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Les cellules possèdent un cytosquelette, ensemble de filaments et tubules assurant leur maintien, dont émergent notamment de petites excroissances appelées filopodes. Le virus du sida (VIH) vient bourgeonner sur ces filopodes de la cellule et les utilise pour se transmettre aux cellules voisines. © Roingeard, Philippe / De la Terre à la Lune. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Les cellules possèdent un cytosquelette, ensemble de filaments et tubules assurant leur maintien, dont émergent notamment de petites excroissances appelées filopodes. Le virus du sida (VIH) vient bourgeonner sur ces filopodes de la cellule et les utilise pour se transmettre aux cellules voisines. © Roingeard, Philippe / De la Terre à la Lune. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. La GFP (Green Fluorescent Protein) est un marqueur qui permet au biologiste et au biochimiste de suivre l'activité du vivant à l'intérieur même des cellules. Son usage a apporté de tels progrès que ses découvreurs (O. Shimomura, M. Chalfie et R.Y. Tsien) ont obtenu le Prix Nobel en 2008. Ici, le bulbe des follicules pileux (produisant le poil) d'une souris transgénique a été marqué par la GFP. © Mazaud-Guittot, Séverine / Hector Servadac. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Grâce à la coloration, ces neurones de souris révèlent la structure des cellules du système nerveux. En bleu, les noyaux des neurones contiennent l'ADN. En vert, la fine chevelure est formée des axones, ou fibres nerveuses, des prolongements du neurone transportant notamment son potentiel électrique. © U676-Dournaud,Pascal / Hector Servadac. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Pour isoler et suivre un élément du vivant, les chercheurs développent des techniques de marquage par fluorescence. En vert, on observe ainsi en culture le corps cellulaire et en rouge les axones de neurones embryonnaires de rat. La zone d'intérêt a été marquée par une protéine, la GFP, protéine de fluorescence verte, qui provient d'une méduse. © Eugène, Emmanuel / Mathias Sandorf. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Science et médecine progressent par l'observation : depuis plusieurs siècles, on ne cesse de perfectionner l'imagerie du corps humain, qu'il s'agisse des organes, des tissus, des cellules ou des molécules. Cet examen scanner sur un anévrisme de l'aorte abdominale permet la localisation et l'évaluation du trouble, afin de prendre la meilleure décision pour l'intervention et de guider le geste du chirurgien. © Latron, Patrice / Vingt mille lieues sous les mers. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. T, A, G, C : ces quatre lettres de l'alphabet du vivant servent à écrire l'information génétique. Elles désignent la thymine, l'adénine, la guanine et la cytosine, quatre bases chimiques entrant dans la composition de tout ADN. Dans le cas d'une pathologie génétique (ici, la maladie de Crohn, trouble inflammatoire chronique intestinal), l'écriture des gènes connaît des fautes, c'est-à-dire des suppressions, inversions ou duplications de bases chimiques. © Latron, Patrice / Voyage au centre de la Terre. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Sur cette imagerie par fluorescence, on voit se développer en temps réel les neurones de l'hippocampe, une structure corticale ancienne du cerveau. Les longues arborescences, appelées des axones, permettent aux cellules du système nerveux de communiquer entre elles. © Latron, Patrice / Vingt mille lieues sous les mers. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Avant de soigner un organisme, il faut d'abord être capable d'examiner ses molécules, ses cellules ou ses tissus. L'imagerie biomédicale a connu d'immenses progrès depuis quelques décennies. Au Centre d'étude et de recherche en radio-pharmaceutique (faculté de pharmacie de Tours, unité Inserm 930), on développe ainsi des radiotraceurs permettant au chercheur comme au médecin d'observer en détail le système nerveux. © Latron, Patrice / Vingt mille lieues sous les mers. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. L'eye-tracking ou oculométrie consiste à observer en laboratoire les mouvements des yeux d'un sujet, pour savoir comment il fixe son attention visuelle face à des stimuli. Cette technique est notamment utilisée pour comprendre les troubles cognitifs des enfants autistes, qui souffrent de difficultés à échanger avec leur environnement immédiat. © Latron, Patrice / Le Château des Carpathes. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Ce laboratoire Jean Mérieux / Inserm, à Lyon, est dit "P4" pour pathogène de classe 4. Il s'agit de la sécurité maximale, nécessaire à la recherche sur les microbes les plus dangereux. L'accès aux salles passe par des sas de décontamination et des portes étanches. Les chercheurs revêtent des scaphandres dont l'air est renouvelé en dehors du laboratoire. © Latron, Patrice / Vingt mille lieues sous les mers. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. La grippe saisonnière produit fièvre, fatigue et courbature. Voilà pour la partie visible, symptomatique, de la maladie. Son virus Influenza A/H5N1 pénètre nos cellules et en modifie le fonctionnement. Cette image par microscopie confocale montre des cellules humaines infectées par la grippe. L'activité des facteurs nucléolaires, centre de synthèse des ribosomes dans le noyau de chaque cellule, est modifiée par l'attaque virale. © Manuel Rosa-Calatrava ; Denis Ressnikoff ; Laboratoire VirPath, Lyon / Les Enfants du capitaine Grant. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Dans les mains de ce chercheur, la culture cellulaire contient des bactéries. Habituellement invisibles, elles ont été marquées par fluorescence et illuminent la pénombre du laboratoire. © Latron, Patrice / Hector Servadac. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Le cancer se développe par mutation de gènes présents dans le noyau de nos cellules. Par des techniques d'imagerie moléculaire, les chercheurs parviennent à marquer ces gènes pour observer leur expression. Sur cette image, on peut ainsi identifier les gènes pp65 (rouge) et GFP (vert) dans les cellules d'un cancer du sein. © Valladeau, Jenny / Voyage au centre de la Terre. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Connue depuis l'Antiquité, la tuberculose continue de nos jours à faire de nombreuses victimes après qu'on ait espéré sa disparition dans la seconde moitié du XXe siècle. Cette situation stimule la recherche de nouvelles stratégies pour lutter contre ce fléau. Sur cette image, on voit la modélisation de la protéine EthR, nouvelle cible thérapeutique pour combattre la tuberculose. © Latron, Patrice / Les Indes noires. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
PHOTOMONTAGES de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Grâce à ce tissu conjonctif recouvrant la surface articulaire des os mobiles, sur laquelle vient se poser la membrane synoviale, la mobilité des articulations est facilitée. L'inflammation des cartilages articulaires est l'une des caractéristiques de l'arthrose. © Chappard, Daniel / Mistress Branican. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Bon nombre des os courts, ainsi que l'extrémité des os longs (l'épiphyse), présentent un aspect spongieux : cette apparence est due aux travées osseuses, formées par de fines trabécules à l'entrelacement labyrinthique. Cette structure joue un rôle essentiel dans la résistance mécanique de l'os. En cas d'ostéoporose, cette architecture trabéculaire disparaît peu à peu, fragilisant l'os qui peut alors se briser au moindre choc. © Chappard, Daniel / Voyages et aventures du capitaine Hatteras. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Ce ne sont pas des goulots de bouteille en rangées, mais des boîtes de cristallisation permettant notamment de préparer des protéines en vue de leur observation. © Latron, Patrice / Le Sphinx des glaces. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Observer et comprendre le fonctionnement de l'infiniment petit, notamment dans le domaine du vivant, passe par l'usage de microscopes multimodes qui offrent la gamme complète des techniques de microscopie à force atomique (AFM). Ces instruments sont capables de sonder la surface d'un échantillon sous l'angle de sa topographie, de son élasticité ou encore d'évaluer les champs magnétiques et électriques des surfaces. Cette image présente une pointe OTR4 pour microscope multimode. © Latron, Patrice / Le Tour du monde en quatre-vingts jours. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Comprendre et décrire le fonctionnement intime de la cellule et des interactions avec son environnement nécessite une représentation tridimensionnelle à haute résolution de complexes macromoléculaires, y compris à l'échelle nanométrique (10-9 m). Pendant leur observation, les échantillons sont maintenus dans un état de conservation optimale grâce à leur hydratation. Ici, image d'un virus en 3D obtenue avec cette technique de microscopie. © Latron, Patrice / Hector Servadac. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Cette chercheuse examine au microscope électronique en transmission les effets des virus d'hépatite. L'observation aux échelles cellulaires, moléculaires et atomiques donne à la science de précieuses informations pour comprendre les effets des attaques infectieuses sur l'organisme. © Latron, Patrice /Le Sphinx des glaces. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Esprit es-tu là ? Les chercheurs explorent l'activité du cerveau pour comprendre les secrets de la cognition. On observe ici les réponses corticales de nourrissons de trois mois à des changements de nombre dans leur environnement visuel. Ces images ont été obtenues en localisant les sources corticales des réponses électriques enregistrées par électro-encéphalographie. © Ghislaine, Dehaene / Le Tour du monde en quatre-vingts jours. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Esprit es-tu là ? Les chercheurs explorent l'activité du cerveau pour comprendre les secrets de la cognition. On observe ici les réponses corticales de nourrissons de trois mois à des changements d'objet dans leur environnement visuel. Ces images ont été obtenues en localisant les sources corticales des réponses électriques enregistrées par électro-encéphalographie. © Ghislaine, Dehaene / Autour de la Lune. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Observation du niveau d'énergie des mitochondries de cellules cardiaques de rat (usine cellulaire) à l'aide d'un marqueur spécifique. Les noyaux cellulaires sont visualisés en bleu après coloration par un agent intercalant de l'ADN. © Rucker-Martin, Catherine / Hector Servadac. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Le système nerveux central et périphérique assure la communication permanente de l'individu avec son milieu interne et externe. On voit ici, en rouge, des neurones sensoriels de ganglion rachidien dorsal de souris, entourés de collagènes, en vert. Ces fibres collagènes présentes dans les nerfs participent à la mécanoception, nous conférant les sens du toucher et de la douleur. Elles sont potentiellement importantes dans le processus de myélinisation, c'est-à-dire de formation d'une gaine grasse (lipidique) jouant un rôle dans la transmission de l'influx nerveux. © Grimal, Sophie / Une Ville flottante. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. D'où viennent les formes du vivant ? Obéissent-elles au hasard ou à la nécessité ? A la croisée de l'évolution, de la génétique et du développement, la morphogenèse passionne les chercheurs de longue date. On voit ici une couleuvre commune africaine (" house snake ") bicéphale, au 9e jour de son développement embryonnaire. © Denans, Nicolas / Voyage au centre de la Terre. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Pour chaque organe atteint, il n'existe pas un mais plusieurs cancers possédant chacun sa propre signature génétique. Les chercheurs visent à les caractériser pour adapter le traitement au patient. La technique d'hybridation fluorescente in situ (FISH) permet ainsi la détection des anomalies du nombre de copies du gène HER2 dans les chromosomes. Les signaux verts représentent le gène HER2, les signaux rouges représentent les centromères, parties centrales des chromosomes 17, et les noyaux des cellules tumorales sont contre-colorés en bleu. Ici, on note une absence d'amplification du gène HER2 : en cas de cancer, celui-ci devient " hyperactif " car il multiplie son nombre de copies ou surexprime sa protéine. Cela constitue un marqueur pour le diagnostic et le traitement. © Pissaloux, Daniel / De la Terre à la Lune. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. L'épithélium respiratoire est le revêtement de la muqueuse : on distingue les cellules ciliées, qui ressemblent à de petites graines germées ou des cils épais expliquant leur nom, et les cellules à mucus, qui viennent bomber à la surface. Les cellules de l'appareil respiratoire assurent l'humidification, le conditionnement et la purification de l'air que nous inspirons. Elles sont sensibles aux agents toxiques, comme la fumée de tabac. En anglais, Englsh version.© U314 / Aventures de trois Russes et de trois Anglais dans l'Afrique Australe. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Agrandissement de l'extrémité supérieure des cellules polygonales, qui absorbent les aliments dans les intestins. Appelés villosités intestinales, les replis de la muqueuse et du tissu conjonctif de l'intestin grêle permettent d'augmenter la surface intestinale et amplifient d'autant le rendement des capacités d'absorption. © Haffen, Katy /L'Ile mystérieuse. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Situé juste après l'intestin grêle, le côlon joue un rôle important dans notre appareil digestif. On voit ici un de ses orifices de surface, avec son bourgeonnement de cellules, déversant du mucus qui servira à assurer le transit, et à récupérer avec l'action de la flore bactérienne les derniers nutriments exploitables des aliments absorbés. © Haffen, Katy / Maître du Monde. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Ce champignon microscopique, le micromycète Aspergillus fumigatus, devient un redoutable ennemi chez les personnes dont le système immunitaire est affaibli. Il est en effet responsable d'infections sévères (les aspergilloses), se développant notamment dans l'appareil bronchopulmonaire. © Guého, Eveline / Voyage au centre de la Terre. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Localisés dans le rein, les glomérules de Malpighi sont des entrelacs de glandes et de vaisseaux dont la fonction est de filtrer le sang. C'est au niveau des capillaires que s'effectuent notamment les échanges nutritifs ou encore l'élimination des déchets organiques. Comme le montre cette image réalisée après injection de plastifiant dans l'artère rénale puis cryodécapage, les glomérules sont organisés en réseaux. On distingue nettement des artérioles et des veinules qui pénètrent ou ressortent des glomérules. La taille réelle est d'environ 800 µm. © Celio, Marco / Voyage au centre de la Terre. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Les bactériophages (ou phages) sont des virus n'infectant que les bactéries, une guerre des microbes en quelque sorte. On les voit ici à l'assaut d'une bactérie de l'eau. Les phages sont très utiles comme agents antimicrobiens, mais aussi comme outils de la recherche fondamentale, en biologie moléculaire. © Lapchine, Lydia / La Chasse au météore. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Situé juste après l'intestin grêle, le côlon joue un rôle important dans notre appareil digestif. On voit ici un de ses orifices de surface, avec son bourgeonnement de cellules, déversant du mucus qui servira à assurer le transit, et à récupérer avec l'action de la flore bactérienne les derniers nutriments exploitables des aliments absorbés. © Haffen, Katy / Maître du Monde. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Grâce à la coloration, ces neurones de souris révèlent la structure des cellules du système nerveux. En bleu, les noyaux des neurones contiennent l'ADN. En vert, la fine chevelure est formée des axones, ou fibres nerveuses, des prolongements du neurone transportant notamment son potentiel électrique. © U676-Dournaud,Pascal / Hector Servadac. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
Dehausse, Eric
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Science/Fiction : voyage au coeur du vivant
Photomontage de l'exposition "Science/Fiction : voyage au coeur du vivant" mêlant des photos scientifiques et des gravures des romans de Jules Verne. Pour qu'un biomatériau s'implante correctement, et assure ses fonctions, il faut que l'organisme le reconnaisse et le colonise de ses propres tissus. On observe sur cette image en microscopie par balayage électronique le développement spontané de calcosphérites (cristaux de phosphate de calcium) à la surface d'un biomatériau. © Beuvelot, Johanne / Le Sphinx des glaces. Jules Verne-Musée Jules Verne-Ville de Nantes.
Dehausse, Eric
57085
F. Le Divenah
Exposition à Vannes
L'exposition " Science/Fiction, voyage au coeur du vivant " à Vannes, salle de projection des films "A bord du Nanotilus", Hôtel de Limur, décembre 2013.
57090
Inserm/Lissalde, Claire
Exposition à Vannes
L'exposition " Science/Fiction, voyage au coeur du vivant ", à Vannes, Hôtel de Limur, décembre 2013.
57091
Inserm/Lissalde, Claire
Exposition à Vannes
L'exposition " Science/Fiction, voyage au coeur du vivant ", à Vannes, Hôtel de Limur, décembre 2013.
57092
Inserm/Lissalde, Claire
Exposition à Vannes
L'exposition " Science/Fiction, voyage au coeur du vivant ", à Vannes, Hôtel de Limur, décembre 2013.
57093
F. Le Divenah
Exposition à Vannes
L'exposition " Science/Fiction, voyage au coeur du vivant " à Vannes, salle de projection des films "A bord du Nanotilus", Hôtel de Limur, décembre 2013.
57094
F. Le Divenah
Exposition à Vannes
L'exposition " Science/Fiction, voyage au coeur du vivant ", à Vannes, Hôtel de Limur, décembre 2013.